Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
TEN YEARS AFTER OUR FIRST TRIP TO INDIA : FEBRUARY 2018
10 février 2018

WEEK END A AGONDA

Deux jours que je n'ai pas écrit, ce qui ne veut pas dire que nous n'avons rien fait, mais plutôt le contraire. nous avons été très occupés.

Ici, il est 22h20; nous avons dîné à Jojolapa, comme d'habitude: le petit restau est installé dehors, sous un toit de palmier et joliment éclairé; une petite musique de fond, Bubble qui court avec les enfants, c'est très sympa.


Comme tous les jours, le réveil sonne à 7h15 ici et nous enfilons nos baskets pour le running sur la plage; nous n'avons pas failli à nos engagements et c'est une excellente façon de démarrer la journée; ce matin, c'était un peu plus compliqué de courir car la marée était plus haute et nous contraignait à courir sur un terrain en devers: mauvais pour les genoux...

 

Puis petit déjeuner: aujourd'hui, j'ai opté pour un israeli breakfast: super bon: oeufs au plat dressés sur un chutney de légumes et oignons: top, top!

Et ce fut la deuxième séance de massage ayurvédique: 1h10! Mais rien à voir avec la première: nous avions changé de programme: beaucoup plus doux que la fois précédente; ils utilisent des tampons chauds remplis d'herbes ou je ne sais quelle mixture...c'est donc tout reposés que nous avons entamé notre journée: temps couvert aujourd'hui, donc lecture pour moi plutôt que baignade.

Hier, E a loué chez " Ring the bell" un canoë une place et est parti en mer 1h30; il a eu la chance de croiser une bande de dauphins que j'ai aussi aperçus aux jumelles; bon, évidemment, l'heure et demie a été très longue pour moi et je n'ai recommencé à respirer normalement que lorsque j'ai aperçu le petit point jaune ( couleur du canoë); j'ai cependant reçu et envoyé deux sms sur mer... Incroyable; c'est dingue, la technologie.

Puis, nous avons déambulé le long de la rue principale d'Agonda où se succèdent toutes les boutiques de joailliers ( du Cashmire); j'ai déposé ma bague en argent avec une pierre oeil de tigre pour la faire réparer ( je n'ai pas trouvé à Angers de joaillier capable de le faire: ma bague s'est fendue).

J'oubliais l'épisode de l'ATM: après avoir appelé notre banque pour que tout soit safe, nous avons retiré de l'argent chez ce " négociant": c'est un business qui rapporte gros pour lui: 3°/° de commission: cool.

Puis, nous avons cherché un taxi pour nous emmener à Mapusa chez Anil ( enfin, le bled s'appelle Socorro; on voit que les Portugais étaient là avant); et, surprise, nous tombons sur Paolo, le taximan que nous connaissons depuis des années; il est là, dans la rue comme tous les autres, à attendre une course; il a changé sa voiture pour un modèle beaucoup plus moderne avec AC; il nous prendra demain à 15h ( 2700 roupies la course); 3h de route quand même; nous dormirons chez Anil et prendrons un autre taxi lundi pour le retour.

J'espère qu'Anil sera en forme; il rentre de New york aujourd'hui...

Quant au trip " cascades" que nous projetions de faire, il tombe à l'eau ( c'est le cas de le dire) car c'est en période de mousson que les cascades sont visibles ( ben oui, normal!); pour l'instant, il n'y a pas d'eau. On est sous les Tropiques, quand même!

Demain matin, à 8h30, nous assisterons à la messe à Saint Ann Church; nous sommes très curieux de participer à un tel événement.

Et, en vrac, anecdote rigolote: les vaches sacrées se font courser par les chiens sur la plage; c'est un spectacle rigolo ( et peu effrayant car les vaches sont habituées: les chiens se mettent à 4 ou 5 à aboyer sur ces pauvres bêtes qui se baladent tranquillement et ... devinez qui a le dessus: les chiens: les pauvres vaches se carapatent à toute vitesse, traquées par ces sales " clébards" plutôt drôles et sympas...

Et E a fait les frais des vaches sacrées ce soir: il portait un sac de bananes fraîchement achetées chez le primeur du coin quand nous avons croisé trois vaches sacrées ; l'une d'elles ayant le nez plus fin que les deux autres s'est mis dans la tête de bouffer nos bananes; elle s'est donc ruée sur E qui, voulant éviter de se faire arracher le sac, l'a caché derrière son dos; et voilà que la vache sacrée n'entend pas se faire blouser: elle attaque avec son museau, et d'une et de deux: c'était une vraie corrida... sans picadores... ni matador... qui s'est bien terminée, heureusement,  E étant parvenu sans trop de difficulté à faire fuir l'attaquante...
Mais, c'était surprenant... et cela m'a rappelé un souvenir: en 2015, alors que nous marchions sur la plage, nous avions croisé une bande de vaches qui rentraient, à la queue leu leu: mais, P! Celle qui menait la marche ne déviait pas d'un centimètre de son trajet, si bien que, m'ayant vue comme une gêneuse qui se trouvait sur sa ligne directrice, elle m'avait généreusement assené un coup de museau pour que je me pousse ; étonnant!

 

 

 

 

 

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
TEN YEARS AFTER OUR FIRST TRIP TO INDIA : FEBRUARY 2018
Publicité
Archives
Derniers commentaires
Visiteurs
Depuis la création 1 565
Albums Photos
Pages
TEN YEARS AFTER OUR FIRST TRIP TO INDIA : FEBRUARY 2018
Newsletter
1 abonnés
Publicité